En musculation, les inhibiteurs de l'aromatase sont le plus souvent utilisés pendant le cycle des stéroïdes anabolisants pour :
- Prévention de la gynécomastie;
- Augmentation du taux d'hormones anabolisantes dans le sang
- augmenter le soulagement (en éliminant les effets négatifs des œstrogènes);
- Prévention de l'hypertension;
- Diminution de la suppression des œstrogènes de l'axe hypothalamus-hypophyse-testicules, entraînant une récupération plus rapide.
Lors de la construction d'un cours, il convient de garder à l'esprit que tous les stéroïdes anabolisants ne sont pas soumis à l'aromatisation. L'utilisation est justifiée avec l'introduction de médicaments tels que la testostérone et ses dérivés, la méthandrosténolone, la méthyltestostérone. La boldénone et l'halotestine sont légèrement aromatisées.
Les bloqueurs d'aromatase les plus appréciés et les plus disponibles (pratiquement comparables en efficacité).
Candidature sur le parcours
La tactique de la plupart des athlètes domestiques se réduit à l'utilisation d'inhibiteurs de l'aromatase lorsque les premiers signes de gynécomastie apparaissent (gonflement, démangeaisons au niveau du mamelon, rougeur). Cependant, cette approche n'est pas optimale.
La solution la plus rationnelle consiste à réaliser un test d'estradiol après environ 10 jours de prise de stéroïdes anabolisants à demi-vie courte (propionate de testostérone, méthandrosténolone) ou après 3-4 semaines d'introduction d'esters longs (énanthate, sustanon, cypionate). Ensuite, la dose moyenne d'anastrozole est prescrite 0,5 mg tous les deux jours. Après 10 jours, une analyse contrôle de l'estradiol est réalisée et la posologie est ajustée en fonction des résultats.
Une option de compromis serait l'utilisation d'une dose modérée ou faible d'anastrozole en mettant l'accent sur les sentiments subjectifs. Si après le rendez-vous il y a une baisse de la libido, une dysfonction érectile, une dépression, alors il est nécessaire de baisser la dose. En savoir plus sur les cours de stéroïdes.
